Rédaction
12 novembre 2006

La principale compagnie britannique d'autocars a ouvert un centre à Lublin, dans le sud-est de la Pologne, où elle diffuse à ses futures recrues des programmes typiques de la télévision britannique pour les familiariser avec les accents régionaux. La compagnie FirstGroup a déjà recruté 1.000 chauffeurs polonais. Elle s'est tournée vers l'Europe de l'Est après avoir constaté les difficultés à trouver des chauffeurs britanniques. Les programmes proposés dépendent de la future destination des recrues. "Dans beaucoup d'endroits en Grande-Bretagne, la façon de parler est un peu différente de l'anglais enseigné à l'école, peu de gens disent : +Bonjour, je voudrais un ticket+", a expliqué à l'AFP un porte-parole de FirstGroup. "Nous aidons les recrues à comprendre comment les gens parlent. C'est une façon sympa d'apprendre une langue". "Quand ils seront face à quelqu'un qui parle comme ça, ils auront plus de chances de comprendre ce qu'on leur dit", a-t-il ajouté. "Etre confronté à quelqu'un qui parle avec un fort accent écossais risquerait d'être un gros choc." La principale compagnie britannique d'autocars a ouvert un centre à Lublin, dans le sud-est de la Pologne, où elle diffuse à ses futures recrues des programmes typiques de la télévision britannique pour les familiariser avec les accents régionaux. La compagnie FirstGroup a déjà recruté 1.000 chauffeurs polonais. Elle s'est tournée vers l'Europe de l'Est après avoir constaté les difficultés à trouver des chauffeurs britanniques. Les programmes proposés dépendent de la future destination des recrues. "Dans beaucoup d'endroits en Grande-Bretagne, la façon de parler est un peu différente de l'anglais enseigné à l'école, peu de gens disent : +Bonjour, je voudrais un ticket+", a expliqué à l'AFP un porte-parole de FirstGroup. "Nous aidons les recrues à comprendre comment les gens parlent. C'est une façon sympa d'apprendre une langue". "Quand ils seront face à quelqu'un qui parle comme ça, ils auront plus de chances de comprendre ce qu'on leur dit", a-t-il ajouté. "Etre confronté à quelqu'un qui parle avec un fort accent écossais risquerait d'être un gros choc."

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