Ariane

[...] Deux lancements sont actuellement en préparation au Centre Spatial Guyanais de Kourou : il s’agit des missions VA220 et VA221 prévues, respectivement, pour le 16 octobre prochain et pour début décembre. La mission de ce jeudi a pour but de lancer les satellites Arsat-1, le tout premier satellite géostationnai [...]

[...] Les préparatifs vont bon train à Kourou, en Guyane française, pour la 5e mission de l’année à travers une fusée  Ariane  5 prévue pour le 16 octobre prochain. Les deux passagers de cette mission VA220, à savoir les satellites ISDLA-1 et ARSAT-1, sont actuellement dans la phase finale de vérification avant de rej [...]

[...] Les salons internationaux sont souvent synonymes de nouveaux contrats pour les opérateurs de satellite. C’est le cas d’ Ariane space qui vient de communiquer la signature de 4 accords à l’occasion de l’Euroconsult World Satellite Business qui se déroule actuellement à Paris, portant à 11 le nombre de contrats commerci [...]

[...] Compte à rebours à Kourou pour le lancement, ce jeudi 11, de la mission VA218 d' Ariane space à travers une fusée  Ariane  5. Ce 75e lancement du lanceur lourd a pour but de mettre sur orbite deux passagers : les satellites Measat-3b et Optus 10. Le premier, fabriqué par Airbus Defen [...]

[...] Le satellite Koreasat 7 sera placé sur une orbite de transfert géostationnaire par un lanceur  Ariane  5 ECA depuis le Centre Spatial Guyanais, dans le courant de l’année 2016. Koreasat est le troisième satellite qu’ Ariane space lancera pour l’opérateur coréen KTsat, après Koreasat 3 lanc [...]

[...] Thomas Hundt, 40 ans, rejoint  Ariane space en tant que directeur financier. Membre du comité exécutif de l'entreprise, il sera rattaché au Président Directeur Général d’ Ariane space, Stéphane Israël. Diplômé en économie de [...]

[...] Le premier satellite géostationnaire fabriqué en Argentine, Arsat-1, vient d'arriver en Guyane française afin de préparer son lancement, prévu pour la mi-octobre, à travers une fusée  Ariane  5. Construit par la société Invap, avec l'aide des groupes Airbus Defence and Space et Thales Alenia Space, pour le compte de l'opérateur Arsat (pour Empresa Argentina de Soluciones Satelitales [...]

[...] © une source anonyme de l'Agence Spatiale Russe. Les satellites auraient donc été placé à l'orbite à laquelle le lancement était programmé pour le faire. Si les conclusions de l'enquête d' Ariane space débouchent au même résultat que ces révélations de l'employé de l'agence spatiale russe, on peut légitimement s'interroger sur les différentes étapes de contrôle et de validation des données de vol. Des révélations qui concordent avec les déclarations de Jean-Yves Le Gall : « Ce qui est le plus probable, c'est que le dysfonctionnement se situe au niveau du quatrième étage du Soyouz, l'étage supérieur Fregat, qui place les satellites sur leur orbite définitive après deux impulsions consécutives, poursuit-il. Pour une raison encore inconnue, la deuxième impulsion n'a pas été donnée dans la bonne direction. [...] Clairement, Soyouz n'est pas directement concerné par cet échec, ajoute M. Le Gall. C'est uniquement l'étage supérieur Fregat qui est concerné. Ce module résulte d'un codéveloppement entre Russes et Europée [...]

[...] Suite à l'anomalie vérifiée lors du vol VS209 qui transportait deux satellites du système Galileo (voir actualités du 25 août),  Ariane space a annoncé la mise en place d'une commission d'enquête indépendante. Présidée par Monsieur Peter Dubock, ancien inspecteur général de l’ESA, cette commission a pour mandat d’établ [...]

[...] nt repositionnés. « Une anomalie se serait produite pendant la phase de vol de l’étage supérieur Fregat, conduisant à une injection des satellites sur une orbite non conforme » a expliqué  Ariane space. Jean-Yves Le Gall, coordinateur interministériel pour la France du programme Galileo, a pour sa part déclaré qu'« On devait être sur une orbite circulaire de 23.000km d’altitude, et l’orbite n’est pas circulaire, elle est elliptique et plus basse, aux alentours de 17.000km, ce qui veut dire qu’on a du mal à remplir la mission », admettant qu'il « sera compliqué » de repositionner les deux satellites. Cet échec va, une nouvelle fois, retarder le projet Galileo, qui accumule déjà un retard terrible et coûte presque le double du budget initial de 3,3 milliards d'euros, financé à 100% par la Commission Européenne. [...]