Rédaction
14 mars 2003

Les recettes publicitaires des grands médias (presse, télévision, affichage, radio, cinéma) ont encore diminué en 2002, surtout dans la presse, les annonceurs ayant préféré de bons vieux outils type prospectus et promotions, indique l'étude France Pub publiée jeudi. Les grands médias ont perçu des recettes de 9,5 milliards d'euros, en baisse de 1,2% par rapport à 2001, après une chute de 4,9% de 2001, indique cette étude Comareg-IREP (Institut de recherche et d'études publicitaires). Les recettes hors médias ont en revanche progressé de 1,2% à 18,7 milliards d'euros. Pour 2003, les annonceurs comptent encore privilégier le hors médias, avec des dépenses accrues de 1,7%, mais stabiliser leurs plan médias (+0,6%). La presse (49,6% du marché) a été la plus affectée en 2002, avec une baisse des recettes publicitaire de 3,9%, à 4,7 milliards d'euros, dont -3% pour les publicités commerciales et -7,6% pour les petites annonces. Les quotidiens nationaux ont vu leurs recettes publicitaires reculer de 14,3%, la presse spécialisée de 11,6%, les magazines de 2,5%. Seuls sont préservés les quotidiens régionaux (recettes en hausse de +0,3%), les gratuits (+0,7%) et les hebdos régionaux (+0,8%). La télévision (30,7% du marché) a vu ses recettes publicitaires augmenter de 3,9% à 2,92 milliards d'euros, avec un boom (+5,2%) du parrainage, et une hausse de 1,7% pour les écrans publictaires. A l'inverse, la publicité extérieure (affiches, mobilier urbain) a connu des recettes en baisse de 3,9%. La radio, vecteur bon marché, ressort grande gagnante de ce climat prudent, avec une hausse de ses recettes publicitaires de 9%, à 713 millions d'euros. Le cinéma est aussi bien loti, avec des recettes en hausse de 3% à 74 millions. Les annonceurs ont préféré l'an dernier investir dans la communication hors médias, concrète et au plus près du client, qui a représenté deux tiers de leurs dépenses en communication contre un tiers pour les médias. Ainsi, les dépenses en marketing direct (mailings, prospectus) ont augmenté de 1,25% à 9,36 milliards d'euros, davantage que la totalité des recettes publicitaires des grands médias. Autre vecteur phare pour les marques, les promotions, dont les dépenses ont augmenté de 1% à 4,6 milliards d'euros.Les recettes publicitaires des grands médias (presse, télévision, affichage, radio, cinéma) ont encore diminué en 2002, surtout dans la presse, les annonceurs ayant préféré de bons vieux outils type prospectus et promotions, indique l'étude France Pub publiée jeudi. Les grands médias ont perçu des recettes de 9,5 milliards d'euros, en baisse de 1,2% par rapport à 2001, après une chute de 4,9% de 2001, indique cette étude Comareg-IREP (Institut de recherche et d'études publicitaires). Les recettes hors médias ont en revanche progressé de 1,2% à 18,7 milliards d'euros. Pour 2003, les annonceurs comptent encore privilégier le hors médias, avec des dépenses accrues de 1,7%, mais stabiliser leurs plan médias (+0,6%). La presse (49,6% du marché) a été la plus affectée en 2002, avec une baisse des recettes publicitaire de 3,9%, à 4,7 milliards d'euros, dont -3% pour les publicités commerciales et -7,6% pour les petites annonces. Les quotidiens nationaux ont vu leurs recettes publicitaires reculer de 14,3%, la presse spécialisée de 11,6%, les magazines de 2,5%. Seuls sont préservés les quotidiens régionaux (recettes en hausse de +0,3%), les gratuits (+0,7%) et les hebdos régionaux (+0,8%). La télévision (30,7% du marché) a vu ses recettes publicitaires augmenter de 3,9% à 2,92 milliards d'euros, avec un boom (+5,2%) du parrainage, et une hausse de 1,7% pour les écrans publictaires. A l'inverse, la publicité extérieure (affiches, mobilier urbain) a connu des recettes en baisse de 3,9%. La radio, vecteur bon marché, ressort grande gagnante de ce climat prudent, avec une hausse de ses recettes publicitaires de 9%, à 713 millions d'euros. Le cinéma est aussi bien loti, avec des recettes en hausse de 3% à 74 millions. Les annonceurs ont préféré l'an dernier investir dans la communication hors médias, concrète et au plus près du client, qui a représenté deux tiers de leurs dépenses en communication contre un tiers pour les médias. Ainsi, les dépenses en marketing direct (mailings, prospectus) ont augmenté de 1,25% à 9,36 milliards d'euros, davantage que la totalité des recettes publicitaires des grands médias. Autre vecteur phare pour les marques, les promotions, dont les dépenses ont augmenté de 1% à 4,6 milliards d'euros.

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