Airbus

[...] Bruno Rougier, spécialiste sciences de France Info, est le seul journaliste à avoir testé la microgravité lors du dernier vol de l' Airbus  A 300 du 14 octobre. Vol organisé par le CNES, au départ de Bordeaux. Au total, 11 minutes en apesanteur, une expérience inédite. Témoignages à retrouver dans « le plus, l'enquête France Info [...]

[...] . Parmi les services qui pourraient être mis en commun, le journal cite les services juridiques, la communication, les achats, relevant actuellement des différentes filiales du groupe : l'avionneur  Airbus , Military Transport Aircraft --pour les avions militaires--, les fabricants d'hélicoptères Eurocopter et de satellites Astrium et la partie défense et sécurité. Selon La Tribune, le patron de EADS, Louis Gallois, étudiait auparavant la possibilité de séparer distinctement les activités civiles et militaires du groupe, mais il a dû abandonner cette idée pour une réforme moins ambitieuse. [...]

[...] . Une offre similaire, mais sur des vols intérieurs, est déjà proposée par la compagnie australienne Qantas. Cette expérience de six mois sera réalisée à bord d'un seul avion Air France, un  Airbus  A318 de 123 places desservant des villes européennes qui varieront selon les jours et l'heure. Les passagers seront simplement informés à leur arrivée à bord de ce service, a précisé une porte-parole de la compagnie, Marina Tymen. Prochaine étape de cette expérimentation : les appels vocaux "tout en veillant", précise Air France, "à ce que le voyage reste un moment de confort et de bien-être". Ell [...]

[...] Ce soir sur CNN à 19h30, l'émission "Quest" sera tout entière consacrée au nouvel  Airbus , car Richard Quest a eu la chance de participer au vol inaugural de l'A380, le plus grand avion de ligne jamais construit. Entre Singapour et Sydney, Richard Quest tente de savoir si l'avion est à l [...]

[...] bord d'un avion qui suit une trajectoire alternant montées et descentes espacées de paliers courts, procurant aux passagers des moments d'apesanteur. Jusqu'à présent, Novespace, qui exploite un  Airbus  A300 Zéro-G, organise ce genre de vols à des fins scientifiques. Le partenariat signé entre Novespace et Nouvelles Frontières est suspendu à l'approbation par l'aviation civile française, a précisé M. Siano. Les vols seraient réservés à des groupes limités à 40 personnes et auraient une durée maximale d'1H30, pour un prix d'environ 3.000 euros "pour rendre l'apesanteur accessible au plus grand nombre". Parmi les aéroports envisageables pour ce genre de vols M. Sia [...]

[...] déroutant, blogs sur Internet.. Bizuth à vieTreize ans après, Solenn Colleter ne s'est toujours pas remise de son bizutage à l'entrée d'une grande école française. Aujourd'hui Ingénieur chez  Airbus  Industries, elle brise la loi du silence et dénonce les actes dégradants dont elle fut victime avec ses camarades de promotion.Un témoignage recueilli par Thierry Demaizière et Cédric Terasson. [...]

[...] avigation qui doit assurer l'indépendance du Vieux continent dans ce domaine face au GPS américain. Le projet rassemble huit grands noms de l'industrie du satellite européen: EADS, maison-mère d' Airbus , les français Thales et Alcatel, l'italien Finmeccanica, les espagnols Aena et Hispasat, le britannique Inmarsat et l'allemand TeleOp. [...]

[...] Galileo peine à démarrer. Certains le disent en péril. Les plus optimistes, comme le Commissaire européen aux Transports, Jacques Barrot, craignent pour ce projet une contamination du « syndrome  Airbus  ». Autrement dit, des retards en série. Mais, n'en est-il pas déjà atteint ? Le système opérationnel qui devait être mis en orbite d'ici 2008 a été reporté à 2011. Jusqu'à présent, un se [...]

[...] 7 un accord sur les principaux points de ce qui constituera le contrat de concession final du projet. Le projet rassemble huit grands noms de l'industrie du satellite européen: EADS, maison-mère d' Airbus , les français Thales et Alcatel, l'italien Finmeccanica, les espagnols Aena et Hispasat, le britannique Inmarsat et l'allemand TeleOp. [...]

[...] vigation qui doit assurer l'indépendance du Vieux continent dans ce domaine face au GPS américain. Le projet rassemble huit grands noms de l'industrie du satellite européen : EADS, maison-mère d' Airbus , les français Thales et Alcatel, l'italien Finmeccanica, les espagnols Aena et Hispasat, le britannique Inmarsat et l'allemand TeleOp. Pour les mettre sous pression , le 27 ont aussi demandé jeudi à la Commission de présenter en juin "des scénarios de rechange détaillés" dans le cas où les efforts des industriels européens resteraient insuffisants. M. Barrot n'a pas exclu de choisir carrément un autre consortium. [...]