Berlin

[...] avec 699 millions d'écus pour 671 attendus, grâce notamment à la force de persuasion du ministre français de la Recherche, Roger-Gérard Schwartzenberg qui a réussi à "arracher" à sa collègue  Berlin oise Edelgard Bulmahn, dès avant le conseil d'Edimbourg, 150 millions d'euros de plus, pour porter cette somme à 278 millions et faire passer ainsi la participation allemande à Ariane de 22 à 30%. Les deux programmes restants concernent le Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou et sont destinés à financer les coûts fixes de la base proprement dite et l'utilisation des pas de tirs. Dans le premier cas, les ministres ont fait l'appoint, accordant les 432,2 millions d'euros demandés. Dans le deuxième cas, la situation est plus délicate car elle a de fâcheuses répercussions sur la position d'Arianespace face à sa concurrence. Alors que les opérateurs des fusées américaines paient quelque 1,5 million d'euros par lancement pour l'utilisation des infrastructures au sol, la société européenne se voit présenter des factures de 12 millions. Aussi, ses responsables ont demandé un coup de pouce aux ministres qui ne les ont que partiellement entendus : pour 234 d'euros millions demandés, ils leur en ont attribué 131. Mais aux yeux de M. Laurent, l'essentiel a été atteint puisque "le message de rééquilibrage est passé. C'est un pas important". De toute manière, la situation d'Arianespace n'est pas facile. Les modifications d'Ariane-5 ont creusé un "trou" de plus de 200 millions d'euros dans son chiffre d'affaires 2000 et, surtout, la fusée européenne, tout en occupant la moitié du marché mondial des lancements de satellites commerciaux, reste défavorisée par rapport aux fusées américaines Atlas et Delta, dont la moitié des vols est assurée par des lancements gouvernementaux. "Si notre travail quotidien est majoritairement consacré au service de clients commerciaux, rappelle le PDG d'Arianespace, Jean-Marie Luton, il ne faut jamais perdre de vu [...]

[...] odefroy - 13:00 / 14:00 Rédacteur en chef : BENOÎT POELVOORDE Pour le film "Le vélo de Ghislain Lambert"  Samedi, tous les goûts sont permis Isabelle Quenin - 14:00 / 16:30 Invités : SANDRINE KI Berlin  - Pour le film "Betty Fisher et autres histoires" - EVELYNE BOUIX - Pour la pièce "Emy´s View" JEAN YANNE - Pour son livre "Je suis un être exquis" (Le cherche midi)  Studio 22 - Eric Jean-Jean - 18:15 / 19:30 Invités : DIDIER BARBELIVIEN - AXELLE RENOIR - CYLIA [...]

[...] Jean-Marie O Berlin , co-fondateur avec le compositeur Marius Constant de la chaîne France Musiques (ex-France-Musique sans "s") est décédé début septembre à Paris à l'âge de 79 ans, a-t-on appris ce matin par se [...]

[...] Le groupe électronique néerlandais Philips a présenté à  Berlin  sa dernière nouveauté, un lecteur-enregistreur de DVD (Digital Versatile Disk), censé devenir l'un des produits-phares du groupe ces prochaines années. Le DVDR 1000 constitue le "développement l [...]

[...] re d'homme"? Suivront notamment le 19 août le député vert Noël Mamère et Mgr di Falco sur le thème "Quelles couleuvres faut-il avaler quand on est au pouvoir?", le 26 août le comédien Charles  Berlin g et la navigatrice Florence Artaud sur "N'est-on doué que pour une seule chose?", le 2 septembre la députée RPR Roselyne Bachelot et le comédien Guillaume Canet sur "Faut-il jouer au marginal pour être bien dans le système?" "Le goût du noir" est en ligne sur www.lacinquieme.fr [...]

[...] le retrait en 1997 de cinq fréquences qu'il exploitait dans le Land (Etat régional) de Rhénanie-Palatinat et les difficultés qu'il rencontre pour porter de 79,6 à 100% sa participation dans NRJ  Berlin . [...]

[...] le retrait en 1997 de cinq fréquences qu'il exploitait dans le Land (Etat régional) de Rhénanie-Palatinat et les difficultés qu'il rencontre pour porter de 79,6 à 100% sa participation dans NRJ  Berlin . Il estime en substance qu'il y a inégalité de traitement entre lui-même en Allemagne et le géant allemand des médias Bertelsmann qui a pu prendre le contrôle en France des radios RTL, RTL2 et Fun Radio et de la chaîne de télévision M6. L'appel de NRJ au CSA intervient alors que l'instance de régulation de l'audiovisuel français doit se prononcer prochainement sur cette prise de contrôle. [...]

[...] ues et de télévision en anglais, espagnol et allemand. La Deutsche Welle, fondée en 1953, avait notamment intégré dans les années qui ont suivi la réunification allemande les services de RIAS  Berlin  (radio du secteur américain), ainsi que de l'ancien émetteur de l'Allemagne de l'Est, Radio  Berlin  International. Depuis 1998, les coupes réalisées par le gouvernement dans les subventions à la Deutsche Welle ont obligé la direction à réaliser d'importantes économies. En trois ans, près de 700 postes ont été supprimés --soit 40% du personnel--, dans le cadre de plans sociaux et de départs en retraite, selon la direction. Une dizaine de programmes de radio en langues étrangères (dont le néerlandais, tchèque, slovaque et espagnol) avaient été supprimés dans le cadre de ces économies. Le budget annuel de la Deutsche Welle, de 297 millions d'euros en 2000, doit fondre de près de 18 millions d'euros entre 2000 et 2003. [...]

[...] Le groupe de médias allemand Kirch souhaite acquérir, affirme le quotidien allemand  Berlin er Zeitung, une participation dans la chaîne de télévision russe NTV dans le cadre d'un accord avec son nouveau propriétaire, le géant gazier Gazprom. Un porte-parole du groupe Kirch, interrogé [...]

[...] (les histoires sont tirées de nouvelles de Thierry Jonquet, Philippe Huet, Olivier Thiebaut, Philippe Setbon notamment) lui ont donné de petites manies pour la rendre plus humaine: elle se dope aux  Berlin gots de lait et aux chouquettes. Elle a aussi banni de son vocabulaire le mot coïncidence. Impeccable, implacable au boulot avec parfois un côté donneuse de leçons, dans le privé c'est une femme épanouie avec son mari Yves (François Caron), professeur de philo ex-soixante huitard qui lui mitonne des petits plats. Christine Citti forme un duo avec son jeune adjoint, le lieutenant Eric Nell (Jean-Baptiste Martin), frais émoulu de l'école de police. Un peu gauche au départ, toujours propre sur lui, il apprend le métier à ses côtés. La première intrigue à dénouer, "Le prix d'un homme", met en scène une jeune femme, Karine, interprétée par Valérie Kaprisky, qui engage un SDF, sans le rencontrer, pour tuer son mari infidèle. Le scénario initial va se révéler plein d'imprévus. La deuxième histoire, "Illégitime défense", met aux prises deux policiers, dont Richard Webber (Jean-Marie Winling), unanimement respecté dans la profession. Eloïse a débuté avec lui et le soupçonne de meurtre. Les deux séries policières du vendredi soir sur France 2 obtiennent en moyenne 25% de parts d'audience, indique la chaîne publique. [...]