Mitsubishi
Les groupes américains Dell et Hewlett-Packard Company (HP) ont décidé de s'
[...] ©claré Richard Sasselink, responsable des périphériques de mémoire chez Dell Outre Dell et HP, Hitachi Ltd (Japon), LG Electronics Inc. (Corée du Sud), Matsushita Electronics Industrial (Japon), Mitsubishi Electric Corp. (Japon), Pioneer Corp. (Japon), Royal Philips Electric (Pays-Bas), Samsung Electronics (Corée du Sud), Sharp Corp. (Japon), Sony Corp. (Japon) et Thomson (France), font partie de ce groupe. [...]
La mise sur orbite du satellite géostationnaire américain de télévision num
[...] pération signé récemment par Arianespace avec Boeing Launch Services (BLS) et Sea Launch dans le cadre de l'"Alliance de services de lancement", conclue en juillet dernier et signé également par Mitsubishi Heavy Industries/MHI (Japon). Cet accord de "recours" (back-up) permet à un client, en cas de problème technique ou d'échec, de pouvoir faire partir rapidement son satellite à bord d'un autre lanceur, fourni par un autre des signataires. DirecTV-7S devait être le quatrième satellite du premier opérateur américain de télévision numérique DirectTV à partir à bord d'une Ariane. Le lancement de ce satellite, qui offrira aux téléspectateurs américains une grande variété de programmes locaux de télévision, était initialement prévu au quatrième trimestre 2003. Sea Launch est une entreprise mixte qui regroupe BSL (40% des parts), Energuia (Russie, 25%, Kvaerner (Norvège, 20%) et les sociétés ukraniennes Ioujnoé et Ioujmachzavod (15% au total). Elle exploite les lanceurs ukraniens Zénith-3SL à partir d'une plate-forme flottante. [...]
Le ministère japonais des Sciences souhaite développer une nouvelle version de
[...] concurrents comme le programme européen Arianespace. Avec un budget de 20 milliards de yens (148 millions d'euros), le ministère des Sciences et de la Technologie, en collaboration avec le groupe Mitsubishi Heavy Industries Ltd. (MHI), prévoit de porter en quatre ans la capacité de mise en orbite de la fusée japonaise au niveau de ses concurrents et réduire les coûts de lancement de satellites commerciaux, selon le journal économique Nihon Keizai. La nouvelle version lourde devrait également permettre d'augmenter ses capacités de tran [...]
La société européenne de lancement de satellites Arianespace prévoit de
[...] La société européenne de lancement de satellites Arianespace prévoit de conclure d'ici cet automne une alliance avec le groupe japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) et le constructeur aéronautique américain Boeing, a annoncé à Tokyo le directeur général d'Arianespace, Jean-Yves Le Gall. Cet accord de "recours" permettrait à un clie [...]
Le premier fabricant japonais de mécanique lourde, Mitsubishi Heavy Industries
[...] Le premier fabricant japonais de mécanique lourde, Mitsubishi Heavy Industries Ltd. (MHI) est en discussions avec la société européenne Arianespace et le constructeur aéronautique américain Boeing en vue d'une alliance dans le lancement de satellites. "Il [...]
Une fusée Ariane 5 générique a mis sur orbite hier soir deux satellites de t
[...] n mère d'Optus, exploite un satellite, ST-1, qui a été lancé par une Ariane-4 en 1998. Conçu et assemblé par Space Systems Loral et Raytheon Systems (Etats-Unis), sous la maîtrise d'oeuvre de Mitsubishi Electric, Optus and Defence C1 est un satellite de 4.725 kg au décollage, dont quelque 2.750 kg d'ergols, équipé de 24 répéteurs (relais) en bande Ku, de quatre en bande X, de quatre en bande Ka et de quatre canaux en bande UHF. Il sera amené, sur orbite géostationnaire, à 36.000 km d'altitude, par 156 degrés de longitude est (soit au-dessus de la Mélanésie), position d'où il assurera pendant quinze ans des services de télécommunications commerciales sur l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Sud-Est asiatique et Hawaï, ainsi que des liaisons spécialisées pour le ministère australien de la Défense. BSAT-2c, lui, sera le cinquième satellite BSAT à être lancé par Arianespace. Construit par Orbital Sciences à Dulles (Etats-Unis), à partir d'une plate-forme Star-1, BSAT-2c, est un satellite de 1.275 kg au décollage, dont 740 d'ergols, doté de quatre répéteurs en bande Ku. Il sera positionné, sur orbite géostationnaire, par 110 degrés de longitude est (soit au-dessus de l'île de Bornéo), d'o [...]
Pour son troisième lancement de l'année, Arianespace doit mettre aujourd'hui
[...] mère d'Optus, exploite un satellite, ST-1, qui a été lancé par une Ariane-4, en 1998). Conçu et assemblé par Space Systems Loral et Raytheon Systems (Etats-Unis), sous la maîtrise d'oeuvre de Mitsubishi Electric, Optus and Defence C1 est un satellite de 4.725 kg au décollage, dont quelque 2.750 kg d'ergols, équipé de 24 répéteurs (relais) en bande Ku, de quatre en bande X, de quatre en bande Ka et de quatre canaux en bande UHF. Il sera amené, sur orbite géostationnaire, à 36.000 km d'altutide, par 156 degrés de longitude est (soit au-dessus de la Mélanésie), position d'où il assurera pendant quinze ans des services de télécommunications commerciales sur l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Sud-Est asiatique et Hawaï, ainsi que des liaisons spécialisées pour le ministère australien de la Défense. BSAT-2c, lui, sera le cinquième satellite BSAT à être lancé par Arianespace. Construit par Orbital Sciences à Dulles (Etats-Unis), à partir d'une plate-forme Star-1, BSAT-2c, est un satellite de 1.275 kg au décollage, dont 740 d'ergols, doté de quatre répéteurs en bande Ku. Il sera positionnà [...]
Le numéro un japonais de l'aéronautique et de la mécanique lourde Mitsubishi
[...] Le numéro un japonais de l'aéronautique et de la mécanique lourde Mitsubishi Heavy Industries a indiqué mercredi qu'il était en phase finale de négociations avec la firme espagnole Hispasat pour le lancement d'un satellite de télécommunications. Si l'accord est conclu, [...]
Un consortium privé japonais prévoit de développer d'ici l'an prochain la fus
[...] l'Economie, du Commerce et de l'Industrie (METI). Le groupement Galaxy Express, mené par le fabricant de mécanique lourde Ishikawajima-Harima Heavy Industries et le groupe de négoce international Mitsubishi aura terminé le développement de la petite fusée GX en 2002. Le consortium a demandé au gouvernement, qui a jusqu'à présent lancé tous les satellites japonais, de financer les deux tiers des coûts de développement de la fusée estimés à 50 milliards de yens (405 M USD). "Nous sommes prêts à offrir des technologies de développement aux groupes privés, y compris Galaxy, afin qu'ils puissent réduire leurs coûts de développement et construction de manière considérable", a indiqué M. Takezawa. "Notre but est de renforcer la compétitivité du Japon dans le secteur en expansion de l'espace" qui devrait représenter 40.000 milliards de yens à terme, selon lui. [...]
Après une série de reports, le Japon a décidé de retarder une nouvelle fois
[...] outi à un report du lancement", a indiqué Yoichi Fujita, un autre porte-parole de NASDA. La valve a dû être acheminée jusqu'à Komaki, au centre du Japon, où le fabricant d'aéronautique nippon Mitsubishi Heavy Industries possède une usine pour les équipements spatiaux. Mais elle n'est arrivée que mardi au lieu de lundi en raison de la tempête en cours. Le Japon espère que la fusée H-2A, qui représente une version améliorée et moins coûteuse de sa version H2, lui permettra de devenir un acteur important sur le marché des lanceurs, dominé par les industries américaine et européenne. Mais le lancement de H-2A a été déjà reporté à plusieurs reprises. Fin 1999, il avait été retardé d'un an en raison de deux échecs consécutifs sur la H2, venus s'ajouter à la perte d'un satellite. Créée en 1969, l'année où l'astronaute américain Neil Amstrong posait le pied sur le sol lunaire, l'agence NASDA a d'abord utilisé des technologies américaines pour sa première fusée H-1 puis a essayé de développer ses propres techniques pour H-2. [...]
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