Tf1 et m6

[...] © de RTL9, TPS Star  et  Tel et oon, avec 2,9% chacune, selon la troisième enquête MédiaCabSat de Médiamétrie (janvier à mi-juin 2002) publiée jeudi. TF6, mini-généraliste détenue à 50/50 par  tf1   et   m6 , confirme ainsi sa percée depuis son lancement fin 2000 même si la chaîne recule de 0,2 point par rapport à la précédente vague de mesures (septembre 2001 à mi-février 2002). Sur la population totale, RTL9 conserve toutefois la première place des chaînes du câble  et  du satellite avec 2,7% de part d'audience. D'une manière [...]

[...] urs, soit 34,2% de part d'audience. Sur la Une, "Columbo" a signé une PDA de 28,9% avec 2,544 millions de téléspectateurs. En première partie de soirée, le service public arrive loin derrière  tf1   et   m6 . Sur France 2, "France-Algérie, je t'aime moi non plus", programmée à l'occasion du 40ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, a réalisé une PDA de 9,3% avec 1,908 millions de téléspectateurs. Sur France 3, le film "Noyade interdite" a lui rassemblé une PDA de 15,3% avec 3,392 millions de téléspectateurs [...]

[...] ion vers la TNT des 3 millions d'abonnés analogiques de Canal+. La loi réserve d'office une place à la chaîne cryptée Canal+ sur le numérique terrestre ainsi qu'un second canal, tout comme pour  tf1   et   m6 . Le législateur a par ailleurs r et enu huit canaux sur 33 pour le service public. [...]

[...] r) soit vendeur". Le patron de  tf1  estime qu'il "ne peut y avoir plus de deux opérateurs privés importants" face à l'audiovisuel public, laissant entendre qu'après le rachat éventuel de Canal+,  tf1   et   m6  pourraient rester seuls en lice face à France Télévisions. Patrick Le Lay juge par ailleurs que certaines compétitions de football pourraient disparaître de l'antenne des grands diffuseurs. "Les droits de certains événements continueront à grimper, tandis que d'autres vont disparaître", assure-t-il. "C'est le cas de la Champions' League qui risque de ne plus être diffusée en France, car la qualité de la formule est médiocre", enchaîne Patrick Le Lay. "Si un concurrent en veut, je suis prêt à lui laisser les droits", déclare-t-il. Interrogé sur la pérennité du leadership de la Une, il assure que "si  m6  voulait jouer dans la même catégorie, il faudrait qu'elle adm et te de perdre 2 milliards de francs (300 M EUR) par an pendant des années,  et  il n'est même pas sûr que cela suffise". [...]

[...] expliqué M. Pallain. Dans le domaine de l'édition de chaînes de télévision musicales, NRJ Group s'est toujours considéré victime de "l'obstruction" des bouqu et s satellitaires TPS (détenu par  tf1   et   m6 )  et  CanalSatellite (Vivendi Universal). "TPS a favorisé  m6  Music, détenue par  m6 ,  et  CanalSatellite a préféré miser sur MCM, la chaîne musicale de son co-actionnaire Lagardère", affirme M. Pallain. "Pour nous, la TNT est un moyen de lancer enfin notre chaîne musicale". C et te chaîne, My NRJ, se veut "décomplexée, avec beacuoup de direct, des productions propres, de l'achat de programmes, la mise à l'écran de productions de téléspectateurs  et  beaucoup d'interactivité", a-t-il précisé. NRJ TV, est "plus diversifiée", avec environ 40% de programmes musicaux. A terme, la grille de My NRJ serait dotée d'un budg et  annuel de 28 millions d'euros (8,5 M EUR au lancement)  et  celle de NRJ TV de 46 M EUR (15 M EUR au lancement), auxquels il faut ajouter "5 à 6 M EUR par an pour la diffusion". [...]

[...] Les chaînes privées  tf1   et   m6 , qui s'affrontent déjà dans le domaine de la télé réalité, ambitionnent également de se mesurer sur le terrain des concours de culture générale avec "Le grand concours des enfants" sur  tf1  e [...]

[...] NT), même s'il faut encore "examiner si les conditions seront réunies pour avoir des exploitations rentables", selon M. de Tavernost. Par ailleurs, TF6, la mini-généraliste détenue à 50/50 par  tf1   et   m6  sera proposée à la TNT "sous la bannière de son actionnariat uni", a-t-il ajouté. [...]

[...] La vente des actifs non stratégiques entrait dans la logique de développement du groupe France Télévision", a déclaré pour sa part à l'AFP Marc Schwartz, directeur financier du holding public.  tf1   et   m6  ne commentaient pas la transaction, jeudi soir. La plate-forme numérique TPS, qui revendique aujourd'hui un peu plus de 1 million d'abonnés, a été lancée fin 1996. Son seul concurrent, CanalSatellite, filiale de Canal+ (Vivendi Universal) en compte 1,8 million. TPS, qui perd toujours de l'argent contrairement à son concurrent, vise l'équilibre en 2004. En septembre, les dirigeants de Canal+  et  de Vivendi Universal s'étaient déclarés favorables à la fusion de leur plate-forme avec TPS, assurant qu'il n'y a pas de place en France pour deux bouqu et s satellitaires. Les dirigeants de TPS soutenaient au contraire qu'il n'existait "aucun proj et  concr et  visant à rapprocher les plates-formes"  et  que TPS entendait "poursuivre imperturbablement son développement". [...]

[...] tches du mondial de football 2002  et  d'une option d'achat sur "les plus beaux matches" du mondial 2006 (168 millions d'euros). "Pour moi c et te acquisition est un résultat objectif d'un combat entre  tf1   et   m6 ", a-t-il indiqué, soulignant que la chaîne cryptée Canal+, filiale de Vivendi Universal "n'était pas candidate". De même, M. Messier a mis en garde contre une bulle spéculative dans le dossier de la télévision numérique terrestre (TNT). "Qu'il s'agisse de TNT ou d'UMTS (téléphonie mobile de 3ème génération, ndlr), il faut prendre garde à ce que les  et ats ne se comportent comme des spéculateurs", a-t-il déclaré. "Je souhaite que le gouvernement  et  le CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel, ndlr) ne se lancent pas en matière de TNT dans une bulle à r et ardement", a-t-il dit. [...]

[...] é Didier Mathus (PS, Saône- et -Loire), rapporteur de la Commission des affaires culturelles. "Depuis quelques semaines il y a une offensive energique contre le numérique. Les prises de position de  tf1   et   m6  ressemblent beaucoup" aux "syndicats des bénéfices acquis", a-t-il ajouté, estimant que les "intérêts spécifiques" des deux chaînes sont "en contradiction avec l'intérêt général". "Le passage au numérique est objectifement inéluctable", a-t-il ajouté, soulignant que 75% des foyers ne reçoivent en tout  et  pour tout que 5 chaînes hertziennes. Selon lui, les obstacles techniques ne sont pas insurmontables  et  la TNT "n'est pas le satellite du pauvre", mais l'occasion, pour l'audiovisuel public "de rompre avec les rigidités héritées de l'âge bureaucratique de la télévision". Le pdg de  tf1  Patrick Le Lay a qualifié la TNT d' "approche marxiste de la télévision (...). Si sa seule crainte c'est de voir le système télévisuel actuel battu un peu en brèche, eh bien allez, soyons un peu marxistes", s'est exclamé de son côté Michel Françaix (PS, Oise), dénonçant une télévision où les spectateurs se focalisent sur les animateurs aux dépens du contenu des reportages ou des magazines,  et  qui est "un miroir quand ce n'est pas un judas pour épier son voisin". La vision de la TNT "n'est pas une vision marxiste, c'est une vision bureaucratique", selon Laurent Dominati (DL, Paris) pour qui "il faut une loi qui fasse passer l'audiovisuel à une ère de liberté". La TNT "ne pourra pas se développer dans le conflit", a averti Pierre-Christophe Bagu et  (UDF, Hauts-de-Seine), qui réclame un débat avec le CSA  et  les différents acteurs concernés. Enfin, l'association Les Pieds dans le PAF s'est inquiétée dans un communiqué "du coût important pour les particuliers de l'équipement nécessaire pour la TNT", souhaitant des mesures d'aide en faveur de [...]