GPS
Le chancelier allemand Gerhard Schroeder a reconnu que "des différends en mati
[...] retarde la constitution de la société commune qui doit porter le projet à ses débuts, jusqu'à ce qu'un consortium privé prenne le relais. Galileo, qui doit rivaliser à partir de 2008 avec le GPS américain, nécessite le lancement d'une trentaine de satellites. Son coût est estimé à entre 3,2 et 3,6 mds euros. M. Berlusconi, dont le pays exerce la présidence tournante de l'UE au deuxième semestre 2003, a insisté sur le fait qu'"il était complètement d'accord" avec le chancelier sur les questions européennes et bilatérales, en référence notamment aux négociations pour une constitution européenne. [...]
Le président de la Commission européenne, Romano Prodi, a demandé au pré
[...] la société commune ESA/Communauté européenne qui doit porter le projet à ses débuts, jusqu'à ce qu'un consortium privé prenne le relais. Galileo, qui doit rivaliser à partir de 2008 avec le GPS américain, nécessite le lancement d'une trentaine de satellites. Son coût est estimé à entre 3,2 et 3,6 mds euros. [...]
Les systèmes de navigation par satellite comme Galileo, que les Quinze ont dé
[...] proposer des services de guidage au conducteur, d'assistance en cas de panne, de recherche de véhicules volés ou d'aide d'urgence à ceux accidentés. Galileo, à l'instar de son rival américain GPS , pourrait aussi ouvrir la voie à des systèmes de péage automatique (le paiement est déclenché dès que le véhicule passe dans une certaine zone géographique). Dans le domaine de la logistique, des puces Galileo pourront aider au suivi de colis ou de chargement de frets, de gestion de flotte de camions. Galileo doit aussi trouver des applications dans l'aviation civile et commerciale, le transport ferroviaire et maritime, ou encore la pêche. La navigation par satellite doit également trouver de nomb [...]
Les ministres des Transports des Quinze ont décidé à Bruxelles à l'unanimit
[...] s des Transports des Quinze ont décidé à Bruxelles à l'unanimité de lancer le système de navigation et de positionnement par satellite Galileo, qui mettra fin au monopole du système américain GPS , a-t-on appris de sources européennes. Le coût total du projet est estimé entre 3,2 milliards et 3,6 milliards d'euros, jusqu'à sa mise en service prévue en 2008. La navigation par satellite permet aux ut [...]
Les ministres des Transports de l'Union européenne doivent donner ce mardi leur
[...] ner ce mardi leur feu vert définitif au lancement de Galileo, le programme européen de navigation par satellite qui doit permettre à l'Europe d'avoir, à partir de 2008, un système équivalent au GPS américain. Le sommet européen de Barcelone, les 15 et 16 mars, a montré que les Quinze, après des années d'hésitation, étaient finalement prêts à lancer le projet, dont le coût total est estimé entre 3,2 milliards et 3,6 milliards d'euros, jusqu'às [...]
Huit entreprises privées, dont l'opérateur satellitaire Eutelsat et l'
[...] per activement au développement de services à valeur ajoutée et de solutions de positionnement basées sur le système Galileo", selon un communiqué de presse. Le système Galileo, concurrent du GPS américain, offrira un service de base gratuit, et des services payants visant par exemple les compagnies aériennes, les entreprises exploitant des flottes de navires ou de camions, ou les sociétés de téléphonie mobile. Les membres du consortium n'ont pas détaillé quel pourrait être leur investissement financier dans le programme Galileo, dont le coût total est estimé entre 3,2 et 3,4 milliards d'euros. Ils pourraient cependant co-financer des programmes de recherche et développement avec la Commissio [...]
Le gouvernement allemand a débloqué 160 millions d'euros (140 millions de
[...] navigation par satellite "Galileo", annonce le quotidien allemand Bild, citant un document budgétaire du ministère des Finances. Le projet Galileo a pour but de concurrencer le système américain GPS et de rendre ainsi l'Union européenne indépendante de la technologie américaine. La décision définitive de la mise en oeuvre de "Galileo" doit être prise fin mars en conseil des ministres des Transports de l'Union européenne à Bruxelles. Le 28 février dernier, le gouvernement allemand avait donné son feu [...]
Le ministre de la Recherche Roger-Gérard Schwartzenberg a jugé "probable" que
[...] itique spatiale française et européenne", organisé à l'initiative du sénateur centriste Henri Revol. Le programme Galileo, destiné à doter l'Europe d'un système de localisation comparable au GPS américain (Global Positioning System), a fait l'objet d'un accord lors de la réunion des ministres chargés de l'Espace le 15 novembre à Edimbourg (Grande-Bretagne), mais n'a pas été entériné par les ministres des Transports de l'UE le 7 décembre à Luxembourg. "Le véritable problème est celui de l'indépendance européenne, de l'accès indépendant de l'Europe à ce type d'informations qui ont un certain contenu militaire. Il est difficile de concevoir que l'Europe reste sans système indépendant de positionnement et de datation par satellite", a souligné M. Schwartzenberg. Selon le ministre, "certains Etats membres multiplient des objections techniques ou financières (...) parce qu'ils sont animés d'une moindre volonté d'indépendance par rapport au GPS amà [...]
Les ministres des Transports de l'Union européenne ont suspendu vendredi leurs
[...] ropéenne a demandé aux Quinze de prendre une décision définitive sur ce projet avant la fin de l'année. Galileo doit permettre de concurrencer le système américain de navigation par satellite GPS (global positionning system) et nécessiterait le lancement de 30 satellites. [...]
Les ministres des Transports des Quinze sont sous pression à Bruxelles pour se
[...] artie de son intérêt et donc de sa rentabilité", a souligné jeudi le porte-parole de Mme de Palacio. Galileo, qui doit permettre de concurrencer le système américain de navigation par satellite GPS (global positionning system), nécessiterait le lancement de 30 satellites. La France, l'Italie et l'Espagne notamment sont prêtes à se lancer dans l'aventure, mais cinq pays (Royaume-Uni, Danemark, Pays-Bas, Autriche et Suède) réservent encore leur réponse. Ces Etats craignent les dérives financières du projet d'infrastructure le plus ambitieux jamais porté par l'Union européenne. "Certains Etats membres demandent une visibilité financière au-delà des 5 prochaines années, pour pouvoir dire à leurs contribuables +cela coûtera tant et pas plus+", a résumé une source diplomatique à Bruxelles. "Mais dans un projet de cette envergure, il est extrêmement complexe de tout calculer au millimètre près", a ajouté cette source. Pour se prémunir contre les risques de dérive des coûts, les pays réticents demandent que le secteur privé prenne en main le projet le plus vite possible et le plus largement possible, et ne veulent pas donner leur feu vert tant qu'ils n'ont pas obtenu satisfaction. Le Royaume-Uni par exemple souhaite qu'un opérateur [...]
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