Alors que les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place dans le quotidien des internautes, les deux leaders du marché annoncent des nouveautés.
C'est d'abord Facebook qui, se basant sur la volonté de ses utilisateurs, va réduire temporairement la distribution de contenu politique dans le fil d'actualité pour un petit pourcentage de personnes au Canada, au Brésil et en Indonésie cette semaine, et aux États-Unis dans les semaines à venir. Au cours de ces tests initiaux, la société fondée par Mark Zuckerberg va examiner les diverses façons de classer le contenu politique dans les flux de personnes en utilisant différents signaux, puis décidera des approches que à utiliser à l'avenir.
Par ailleurs, Donald Trump, expulsé de Twitter voilà un mois, ne reviendra pas sur son canal de communication préféré. Dans un entretien concédé à la chaîne CNBC, le directeur financier de Twitter, Ned Segal, a confirmé que l'ex-Président américain ne sera pas autorisé à revenir, même s'il devait, à l'avenir, occuper un poste public important. Une décision définitive qui est liée à la possibilité d'une nouvelle incitation à la violence, justifie la plateforme.
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