Lune

[...] rrisseur lunaire Griffin, qui livrera VIPER à la surface lunaire via CLPS. Ces tests supplémentaires visent à réduire le risque global lié à la livraison de VIPER sur la  Lune . Pour compléter les tests supplémentaires mandatés par la NASA de l'atterrisseur lunaire Griffin, 67,8 millions de dollars supplémentaires ont été ajoutés au contrat CLPS d'Astrobotic, qui totalise désormais 320,4 millions de dollars. [...]

[...] tique, des contributions plus scientifiques et des percées technologiques incroyables, d'autant plus que notre mission Artemis I ouvre la voie à de futures missions en équipage vers la  Lune  et au-delà. » [...]

[...] 233;quipe de mission a perdu le contact avec CAPSTONE - pour Cislunar Autonomous Positioning System Technology Operations and Navigation Experiment -, un cubesat de 25 kilos qui devait arriver sur la  Lune  en novembre prochain. Mais alors que l'on croyait le satellite perdu pour toujours, l'équipe de mission a réussi à reprendre contact avec CAPSTONE. Tout semble bien aller pour ce petit satellite dont les signes vitaux sont bons. Pour le moment, il est trop tôt pour que la NASA puisse en dire plus. [...]

[...] La Chine est, on le sait, l'une des nations intéressées par une présence sur la  Lune , au même titre que les États-Unis ou la Russie. Cet objectif n'est, en tout cas, visiblement pas du goût de Bill Nelson, administrateur de la NASA, qui, dans un entretien concéd&# [...]

Succès pour Rocket Lab, qui a lancé depuis la Nouvelle-Zélande un CubeSat de la taille d'un four à micro-ondes baptisé CAPSTONE sur une orbite inédite autour de la Lune. Il sera le premier engin spatial à tester le Near Rectilinear Halo Orbit (NRHO) autour de la Lune, qui devrait être le point idéal gravitationnel dans l'espace, permettant à la physique de faire la majeure partie du travail de maintien d'un engin spatial en orbite autour de la Lune.

[...] emis et les sciences de la Terre », a déclaré Nelson. « La mission Lunar Pathfinder de l'ESA est essentielle pour faire progresser l'infrastructure de communication nécessaire sur la  Lune  pour une présence humaine à long terme. Et avec les États-Unis et l'Europe fournissant plus de 70% des données mondiales sur les sciences de la Terre, cet accord établira la norme pour la future collaboration internationale à un moment où nous avons le plus besoin d'une collaboration mondiale pour faire face à la crise climatique. » « En ce qui concerne les défis mondiaux tels que la crise climatique, nous avons chacun notre rôle à jouer », a déclaré Aschbacher, « mais ce n'est qu'en unissant nos forces que nous pouvons faire plus. Avec des dirigeants des deux côtés de l'Atlantique plus déterminés que jamais &# [...]

[...] n d'être totalement intégré et testé avec le soutien sur place des ingénieurs de Thales Alenia Space. Le vaisseau Orion est conçu pour transporter des astronautes sur la  Lune  dans le cadre du programme Artemis de la NASA. Le Module de service européen est développé dans son ensemble sous contrat de l'ESA et couvre la structure, la propulsion, l'alimentation électrique, le contrôle thermique et les fonctions principales de support vie. En particulier, l'ESM 4, dans le cadre de la mission Artemis IV, acheminera le module d'habitation international I-HAB jusqu'à la station orbitale Lunar Gateway, et sera arrimé au module logistique et d'habitation HALO (Habitation and Logi [...]

[...] Ils ont confirmé leur engagement à inclure un astronaute japonais à bord de l'avant-poste lunaire Gateway et leur ambition commune de voir un futur astronaute japonais atterrir sur la  Lune  dans le cadre du programme Artemis de la NASA. « Ces dernières années, l'alliance entre le Japon et les États-Unis s'est renforcée, approfondie et plus capable alors que nous travaillons ensemble pour relever de nouveaux défis - tout aussi importants que les opportunités - d'un monde en évolution rapide », a déclaré le président Biden. « Un bon exemple de cela : nous avons vu le rover lunaire [...]

Le Japon a déclaré qu'il espérait envoyer l'un de ses astronautes sur la surface lunaire - le premier non américain - dans la seconde moitié des années 2020 dans le cadre du programme Artemis de la NASA.

[...] rnementales devraient leur laisser le champ libre. C'est le cas du scientifique britannique Lord Martin Rees, astronome royal, qui est d'avis que le secteur public devrait laisser l'exploration de la  Lune  et Mars aux milliardaires qui peuvent financer et risquer de telles aventures en privé. « Nous ne devrions pas avoir de programmes financés par des fonds publics pour envoyer des gens sur la  Lune , encore moins sur Mars », a déclaré Rees. « C'est extrêmement risqué, extrêmement coûteux, et il n'y a aucu [...]