Starlink

[...] nt américain et les menaces de ce dernier contre l'homme le plus tenace et le plus influent du monde ne peuvent pas être réelles. Mais s'ils le sont, les conséquences pour SpaceX,  Starlink  et Tesla seraient démesurées. [...]

[...] aux câbles terrestres et aux opérateurs de téléphonie mobile. Cependant, le coût de l'abonnement ainsi que du matériel nécessaire pour accéder aux services de  Starlink  est également élevé, ce qui limite l'accès à une partie importante de la population. Le salaire moyen en RDC étant inférieur à 100 dollars américains, la plupart des habitants se trouvent dans l'incapacité de payer pour ces services. [...]

[...] semaines, et de produire jusqu'à 1 000 Starships par an avec une méga usine dédiée. En parallèle, SpaceX progresse dans le déploiement de sa constellation de satellites  Starlink , comptant plus de 8 700 unités en mai 2025. L'entreprise vise à produire 10 000 satellites par an, bien que certaines préoccupations aient été exprimées concernant l'impact environnemental de cette initiative, notamment la "pollution lumineuse". Le site de lancement de SpaceX à Boca Chica, au Texas, a récemment été désigné comme une municipalité appelée Starbase, ce qui suscite aussi des préoccupations parmi les défenseurs de l'environnement. Développement du robot Optimus Du côté de Tesla, le robot Optimus est mis en avant comme une ressource essentielle dans les projets martiens. Conçu pour effectuer des tâches sans assistance humaine, Optimus Gen-2 a pour objectif de construire des infrastructures et de gérer des ressources sur Mars. Musk envisage également une utilisation massive d'Optimus sur Terre, en réponse à une demande croissante de solutions automatisées en raison de l'augmentation des coûts de la main-d'œuvre. Un robot Optimus coûtera environ 20 000 euros. Son potentiel d'innovation s'étend même aux loisirs, comme le suggère JulienPoker, un blog explorant les futures applications du poker automatisé. Défis à surmonter Les projets d'Elon Musk font face à [...]

[...] a première charge utile et le rallumage d'un moteur Raptor. Cependant, la porte de la soute de Starship n'a pas pu s'ouvrir, empêchant le déploiement des huit satellites simulateurs de  Starlink . Une erreur de contrôle d'attitude a conduit à ignorer le rallumage du Raptor et a empêché Starship d'atteindre la position prévue pour la rentrée. Le système a alors engagé un processus automatisé de sécurité pour ventiler la pression restante afin de garantir les conditions les plus sûres pour la rentrée. Le contact avec Starship a été perdu environ 46 minutes après le lancement, avec tous les débris attendus dans la zone de danger planifiée dans l'océan Indien. Ce neuvième vol d'essai de Starship représente une étape importante pour la réutilisation, marquant le vol du premier booster Super Heavy ayant déjà volé depuis Starbase. L'analyse des données est en cours et des améliorations seront mises en œuvre alors que la préparation des prochains véhicules Starship et Super Heavy commence. Les tests de développement intrinsèquement imprévisibles sont considérés comme des avancées vers l'objectif de Starship de favoriser la vie sur d'autres planètes. Un vol moins spectaculaire pour le spectateur mais plein d'enseignements pour les ingénieurs de SpaceX qui s'apprêtent déjà à faire voler un dixième vaisseau Starship (déjà prêt). [...]

[...] sion contrôlée dans l'eau du Golfe d'Amérique. D'autre part, la phase supérieure de Starship visera plusieurs objectifs, dont le déploiement de huit simulateurs de satellites  Starlink , et l'allumage d'un moteur Raptor en vol. Des modifications seront également testées sur les tuiles du vaisseau pour évaluer leur performance lors de la rentrée atmosphérique. SpaceX précise que, bien que les essais de développement comportent un degré d'incertitude, leur fréquence vise à permettre uneitération rapide des modifications de conception pour que Starship devienne un véhicule entièrement et rapidement réutilisable. [...]

[...] Le service Internet par satellite  Starlink , propriété de SpaceX et dirigé par l'entrepreneur technologique Elon Musk, a été lancé mardi au Bangladesh dans le cadre des efforts déployés par le pays pour [...]

[...] multi-orbites, fournit des services comme la diffusion vidéo, les communications gouvernementales et l'Internet haut débit. L'accord pourrait renforcer SES face à des concurrents comme  Starlink  (SpaceX) et le projet Kuiper (Amazon). L'acquisition d'Intelsat ferait de SES un acteur clé, capable de mieux rivaliser avec les géants américains. Reste à voir si l'UE donnera son feu vert sans conditions. [...]

[...] Selon un article du Washington Post, le gouvernement américain évoque l'adoption de  Starlink  dans le cadre des discussions commerciales avec plusieurs pays. En effet, ces dernières semaines, plusieurs pays ont accordé des licences à l'entreprise d'internet par satellite d'Elon [...]

[...] 33;fis majeurs. Entre 2021 et 2024, le nombre d'utilisateurs du haut débit par satellite a doublé pour atteindre 100 millions, soutenu par des constellations non géostationnaires comme  Starlink . Les coûts de capacité satellitaire ont chuté de 90 %, facilitant l'adoption à grande échelle. D'ici 2033, entre 650 et 750 millions d'utilisateurs pourraient bénéficier du haut débit satellitaire, notamment grâce à : Des systèmes définis par logiciel Des réseaux assistés par l'IA Une connectivité directe aux appareils Le satellite, révèle l'enquête, s'impose ainsi comme un acteur clé pour l'inclusion numérique mondiale et le développement [...]

[...] Le PDG de SpaceX, Elon Musk, a annoncé sur X que le système de satellites  Starlink  était désormais disponible en République démocratique du Congo, après que le gouvernement congolais a accordé une licence à l'opérateur. Cette décision ma [...]