TF1
 

Rédaction
14 octobre 2007
Ce dimanche à 18h45 sur TF1, Anne-Sophie Lapix et Harry Roselmack présenteront un nouveau numéro de Sept à Huit. Au programme de ce nouveau numéro : -Leurs amis les bêtes :Au mois d'août dernier, un étrange fait divers... 85 flacons de lotion pour lentilles prétendument empoisonnée par un groupe de militants de la cause animale. Leur cible, Novartis, un laboratoire pharmaceutique qui pratique des essais sur les animaux. Novartis est alors contraint de retirer 100.000 flacons du marché. En France, cinquante actions de ce type ont été revendiquées depuis le début de l'année...
-Familles en faillite:
C'est un ouragan financier, le vrai visage de la crise financière mondiale. A Cleveland, des milliers de maisons sont murées par des planches de bois. Abandonnées. Leurs habitants, criblés de dettes, se sont enfuis, en laissant derrière une partie de leur vie... D'autres sont brutalement expulsés par les shérifs du Comté, sous la menace de fusils à pompe. En cas de résistance, ils risquent la prison. Il ne s'agit pas de chômeurs, ni de marginaux, mais de personnes issues des classes moyennes américaines.
Qu'est-il arrivé à ces familles ?
-Fans des années 80:
" Africa ", " femme libérée ", " Macumba "... des tubes que personne n'a oublié et que l'on fredonne dès l'écoute des premières notes. Après le succès de la tournée des années 60 l'an dernier, seize gloires des années 80 remontent sur scène et repartent sur les routes de France pour 45 concerts. Guillaume Porteu et Denis Einaud les ont suivis lors de leurs deux premiers concerts à Nice et à Marseille, et sont allés à la rencontre du public, 6 à 7000 personnes en délire à chacun des concerts...
-Ma vie de gangster:
Entre 1981 et 1986, le gang des postiches a braqué une trentaine de banques et fasciné les Français par son culot, son inventivité et une certaine forme d'élégance. André Bellaiche, le cerveau présumé de la bande, accepte de parler pour la première fois. Sa vie de gangster, il la raconte en exclusivité à Thierry Demaizière. Même si la justice française n'a jamais réussi à prouver totalement son implication, son appartenance au célèbre gang fait peu de doute.
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