Amazon Prime Video

[...] de foyers abonnés (59,5 %). La part des abonnés à l'offre avec publicité continue de progresser, atteignant 35 % des foyers Netflix, soit 6,1 millions (contre 5,5 millions au T2).  Amazon   Prime   Video  recule légèrement à 13,6 millions de foyers (46 %). La quasi-totalité des abonnés (87 %) utilisent désormais la formule avec publicité, soit 11,8 millions de foyers. Disney+ baisse à 7,5 millions de foyers (25,4 %), contre 7,6 millions au T2. La part de l'offre avec publicité grimpe à 30 %, soit 2,3 millions de foyers. Paramount+ reste stable à 3,3 millions de foyers (11,1 %). Discovery+ progresse à 3,2 millions de foyers (10,7 %), contre 3,0 millions au T2. Apple TV gagne du terrain avec 2,8 millions de foyers (9,6 %), contre 2,7 millions au T2. NOW atteint 2,0 millions de foyers (6,8 %), en légère hausse. Ces chiffres confirment une saturati [...]

[...] rogrammes d'information. Dans un paysage du streaming déjà très concurrentiel, YouTube TV occupe une place singulière. Bien que 76 % des répondants soient abonnés à  Amazon   Prime   Video , 74 % à Netflix et 52 % à Disney+, YouTube TV reste utilisé par 29 % des sondés, devant Hulu + Live TV, Apple TV+ ou encore le câble traditionnel (26 % chacun). Ce positionnement hybride - entre télévision linéaire et souplesse du streaming - explique l'impact de la coupure. YouTube TV s'est imposé comme une alternative au câble, notamment pour les amateurs de sport. Les abonnés réclament le retour des chaînes sportives et généralistes Parmi les abonnés interrogés : 56 % utilisent YouTube TV pour les événements sportifs en direct 43 % apprécient l'ensemble des chaînes proposées 33 % se sont abonnés spécifiquement pour les programmes d'ABC 27 % citent l'accès au NFL Sunday Ticket comme facteur déterminant [...]

[...] es plateformes de streaming à investir dans le contenu local, a annoncé le ministre des Arts Tony Burke et la ministre des Communications Anika Wells. Les services comme Netflix, Disney+ et  Amazon   Prime   Video  devront consacrer au moins 10 % de leurs dépenses en Australie ou 7,5 % de leurs revenus à la production de séries dramatiques, contenus pour enfants, documentaires et programmes culturels australiens. Contrairement à la télévision gratuite, les plateformes [...]

[...] age mondial « premier choix », offrant des droits exclusifs sur un match phare de la Ligue des champions par tour. Ce format vise à attirer des plateformes numériques mondiales telles que  Amazon   Prime   Video , Netflix, YouTube ou Apple TV. La création de UC3, présidée par Nasser Al-Khelaifi (président du PSG), marque une nouvelle étape dans la gestion des droits commerciaux des compétitions UEFA, avec une volonté affichée de moderniser leur distribution et d'élargir leur audience. [...]

[...] Les plateformes de streaming des chaînes publiques allemandes (ARD, ZDF, Arte, 3sat) enregistrent une portée supérieure à celle des services privés comme Netflix et  Amazon   Prime   Video , selon la dernière étude annuelle sur les usages médiatiques publiée par ARD/ZDF. YouTube reste la plateforme dominante, atteignant 72 % de la population âgée de 14 ans [...]

[...] 1 millions recensés au premier trimestre. Répartition par plateforme Netflix : 17,6 millions de foyers (59,6 %) y avaient accès, contre 17,4 millions au trimestre précédent.  Amazon   Prime   Video  : 13,7 millions de foyers (46,6 %), en légère progression par rapport aux 13,4 millions du T1. Disney+ : 7,6 millions de foyers (25,7 %), contre 7,3 millions au T1. Paramount+ : 3,3 millions de foyers (11,0 %), en hausse par rapport aux 3,1 millions du T1. Discovery+ : 3,0 millions de foyers (10,3 %), en légère baisse par rapport aux 3,1 millions du T1. Apple TV+ : 2,7 millions de foyers (9,3 %), stable par rapport au T1. NOW : 1,9 million de foyers (6,3 %), contre 1,8 million au T1. [...]

[...] Les plateformes de streaming comme  Amazon   Prime   Video  proposent souvent aux utilisateurs la possibilité de « louer » des contenus numériques pour une courte durée ou de les « acheter ». Beaucoup de gens supposent que choisir « achete [...]

[...] nés d'ici la fin de la saison. Rappelons que Ligue 1+ est disponible via les opérateurs télécoms (Orange, Bouygues Télécom, SFR, Free), sur des plateformes comme DAZN et  Amazon   Prime   Video , ainsi que sur des médias partenaires tels que RMC Sport. Le service est également proposé sur Molotov TV, les téléviseurs connectés (dont Samsung TV), et les app stores mobiles. La plateforme est aussi accessible en OTT (Over-The-Top), directement via l'application Ligue 1+, permettant aux utilisateurs de s'abonner sans passer par un intermédiaire. [...]

[...]  Amazon   Prime   Video  propose les chaînes de France Télévisions et près de 20 000 contenus de france.tv sans coût supplémentaire pour les abonnés en France. Cet accord, qualifié d'" [...]

[...] plateformes recherchent de nouvelles formes de monétisation, et la publicité intelligente s'impose comme un élément clé dans ce contexte. Netflix n'est pas le seul : Disney+,  Amazon   Prime   Video  et YouTube affinent aussi leurs formats publicitaires, les rendant plus dynamiques et moins intrusifs. Dans le cas de Netflix, trois facteurs expliquent l'importance des investissements dans l'IA pour la publicité : Le forfait avec publicités est devenu le principal produitLa moitié des nouveaux abonnements globaux ont déjà opté pour le mode le moins cher, avec publicité. La croissance rapide de ce modèle montre que, pour de nombreux utilisateurs, tolérer quelques publicités vaut le prix réduit. L'ambition de multiplier les revenusL'entreprise ne cache pas son objectif : doubler ses recettes publicitaires. Les publicités traditionnelles ont déjà considérablement évolué, mais l'IA permettra de créer des publicités hyper-personnalisées, et donc plus intéressantes pour les annonceurs. La bataille pour l'EuropeSuite à son succès aux États-Unis et au Canada, Netflix introduit son Ads Suite (système publicitaire propriétaire) sur le marché européen. La raison ? La forte concurrence avec les services locaux et mondiaux, qui s'efforcent aussi d'améliorer leurs plateformes publicitaires. Le risque, bien sûr, est de contrarier les abonnés habitués à un streaming sans interruption. Mais le pari de Netflix semble clair : dans un monde où même Disney+ fait payer les publicités, l'avenir sera divisé entre ceux qui paieront plus pour une expérience sans publicité et ceux qui accepteront la publicité en échange de prix plus bas. Dans ce scénario, l'IA est l'outil qui permet de rendre cet échange moins pénible - et plus rentable. Inquiétudes sur la confidentialité et l'acceptation par le public Derrière la promesse de publicités « personnalisées », Netflix est confronté à un problème complexe : jusqu'où peut-on aller dans l'utilisation des données des abonnés ? La nouvelle stratégie publicitaire basée sur l'intelligence artificielle fait l'objet de comparaisons désagréables : certains critiques y voient des similitudes inquiétantes avec des épisodes de Black Mirror, où la publicité se confond de manière troublante avec le contenu. Netflix s'efforce d'apaiser les esprits. Amy Reinhard, responsable du département publicité de l'entreprise, déclare : « Nos membres accordent autant d'attention aux publicités mid-roll qu'aux programmes qu'ils regardent. » Toutefois, la perception des utilisateurs peut être différente, en particulier en Europe. Le RGPD, Règlement Européen sur la Protection des Données, impose des contraintes importantes à ce type de publicité hyper ciblée. Alors qu'aux États-Unis, la collecte de données à des fins publicitaires est plus souple, en Europe, Netflix devra se plier à un enchevêtrement de restrictions, qui pourraient limiter (et grandement) l'efficacité de ses publicités « intelligentes ». La situation actuelle Nous assistons non seulement à une évolution du modèle économique, mais aussi à une redéfinition complète de ce que signifie être une plateforme de streaming au XXIe siècle. Netflix, la plateforme qui a révolutionné le monde du divertissement avec son modèle sans publicité, adopte désormais de manière irréversible la publicité, marquant ainsi l'un des plus grands changements de son histoire. Ce qui était autrefois un service de streaming simple et direct est devenu un écosystème de divertissement complexe. L'entreprise ne se contente plus de simplement diffuser du contenu : aujourd'hui, elle développe sa propre technologie publicitaire, négocie directement avec de grands annonceurs et intègre l'intelligence artificielle dans ses processus créatifs et exécutifs. Ce changement va bien au-delà de la simple insertion de publicités. Netflix se réinvente en tant que plateforme hybride, où coexistent de multiples sources de revenus : des films et séries traditionnels aux diffusions sportives en direct et aux expériences de contenu interactif. [...]