Arianespace
 

Rédaction
25 juin 2003

La présence de l'Etat français dans le capital de Arianespace à hauteur de 32% "ne se justifie plus", a indiqué Yannick d'Escatha, directeur du Centre national d'études spatiales à travers lequel le gouvernement détient sa participation. "La recomposition du capital (de Arianespace, ndlr) doit être effective avant fin 2004"

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