NASA

[...] st ce mercredi 16 que l'astronaute français de l'ESA, Thomas Pesquet, doit effectuer la première des deux sorties dans l'espace prévues pour cette semaine, en compagnie du membre de la  NASA  Shane Kimbrough. Ces sorties dans l'espace - l'autre est prévue pour le dimanche 20 juin - verront le duo ajouter de nouveaux panneaux au grand panneau solaire de la Station spatiale. Les deux sorti [...]

[...] 33; Gwynne Shotwell, présidente et directrice de l'exploitation de SpaceX. Ax-1, la première mission ISS privée historique d'Axiom, a déjà été approuvée par la  NASA  et son lancement vers l'ISS est prévu pour au plus tôt en janvier 2022, également à bord de Dragon, à la suite d'un accord que les sociétés ont signé en mars 2020. Les missions Axiom sont commandés par des astronautes expérimentés et sont construites autour de programmes de recherche scientifique et d'éducation. [...]

[...] Bezos : si cela se passe bien et que tout le monde revient sain et sauf sur la Terre, sa société Blue Origin démontrera sa fiabilité pour le tourisme spatial et prouvera à la  NASA  son état d'avancement qui pourrait changer d'avis pour le programme Artemis. En revanche, l'échec serait terrible à tous les niveaux. Lors de ce premier vol habité du New Shepard, le lanceur s'élèvera jusqu'à 7,5 km de la Terre avant de se séparer de la capsule qui continuera sa course jusqu'à 100 Km d'altitude. Le lanceur New Shepard reviendra se poser sur Terre et la capsule redescendra en douceur grâce à trois grands parachutes et des retro-propulseurs qui ralentiront son contact avec le sol. [...]

[...] aboratoire en orbite. Dragon s'amarrera de manière autonome au module Harmony de la station, tandis que les ingénieurs de vol de l'Expédition 65 Shane Kimbrough et Megan McArthur de la  NASA  surveilleront son arrivée. Il devrait passer plus d'un mois attaché à la station spatiale avant de se désamarrer de manière autonome et de revenir sur Terre, plongeant dans l'océan Atlantique avec des recherches et du fret de retour. [...]

[...] ystères du système solaire, recherchera des mondes lointains et sondera les structures et les origines mystérieuses de l'univers. Il s'agit d'un projet international dirigé par la  NASA ) avec ses partenaires, l'Agence spatiale européenne (ESA) et l'Agence spatiale canadienne (CSA). Après le déploiement d'Ariane 5 depuis le port spatial de Guyane, le JWST se rendra à proximité du deuxième point de Lagrange (L2) du système Terre-Soleil (à 1,5 million de kilomètres de la Terre, juste en face du Soleil), où le télescope tournera autour d'environ le point L2 dans une orbite de halo. [...]

[...] irmant la participation de l'astronaute américain Michael Lopez-Alegria et du cosmonaute russe Konstantinovich Krikalev. Autre participant de renom à cette conférence : le patron de la  NASA , Bill Nelson, qui espère poursuivre la coopération avec la Russie sur l'ISS : « Nous collaborons dans l'espace depuis que nous avons construit ensemble la Station Spatiale Internationale. La Russie est un partenaire essentiel de l'ISS et je m'attends à ce que la Russie continue de l'être. J'ai hâte de discuter de la poursuite de cette merveilleuse relation. » a déclaré l'intéressé à la presse russe, concluant : « A une époque où les choses peuvent être un peu plus compliquées à la surface de la Terre, je pense que nous nous entendons plutôt bien dans l'espace. » [...]

[...] La Maison-Blanche vient de dévoiler le budget qu'elle allouait à la  NASA  pour l'année 2022, une somme qui doit encore être approuvée par le Congrès. Et quel budget ! L'agence spatiale se voit confier un montant total de 24,8 milliards de dollars, en au [...]

[...] 233; ce mardi avoir défini les commandant et pilote de sa deuxième mission commerciale à bord de l'ISS (Ax-2), qu'elle espère réaliser dès qu'elle aura le feu vert de la  NASA . Il s'agit de Peggy Whitson, l'une des astronautes les plus vénérées au monde qui, au cours d'une carrière de 22 ans à la  NASA , est devenu la première femme commandant de l'ISS, le premier officier scientifique de l'ISS, et a éta [...]

[...] er un programme que les États-Unis avaient de fortes chances de réaliser avant l'Union soviétique. Après avoir consulté le vice-président Johnson, l'administrateur de la  NASA  James Webb et d'autres responsables, il a conclu que l'arrivée d'un Américain sur la Lune serait un exploit technologique très difficile, mais un domaine d'exploration spatiale dans lequel les États-Unis avaient en fait une avance potentielle. On connait tous la suite : l'objectif a été atteint le 20 juillet 1969, lorsque le commandant d'Apollo 11, Neil Armstrong, est descendu de l'échelle du module lunaire et sur la surface de la Lune. 60 ans plus tard, ça semble bien plus difficile d'y retourner... [...]

[...] ectifs de test pendant le vol, notamment la réalisation d'expériences de recherche scientifique génératrices de revenus dans le cadre du programme d'opportunités de vol de la  NASA  et le test de stabilisateurs horizontaux et les commandes de vol améliorés du vaisseau spatial et valider les réductions EMI. [...]