Exploration spatiale

Comment une plaisanterie peut déclencher une réaction en chaîne quand elle vient d'un scientifique crédible...

Certains s'en souviendront : le 24 juin 1982, dans le cadre de la mission franco-soviétique PVH (Premier Vol Habité), Jean-Loup Chrétien est devenu le premier Français et Européen de l'Ouest à s'envoler pour l'espace.

Si l'investissement dans le secteur spatial vient de plus en plus du secteur privé, certains considèrent que les agences spatiales gouvernementales devraient leur laisser le champ libre.

Décidemment, l'espace est très fréquenté ces derniers temps.

Pendant des décennies, l'espace a été la chasse gardée des gouvernements en raison des sommes faramineuses nécessaires pour explorer les cieux ou la Lune.

C'est la question qui a été évoquée lors du premier congrès Asgardia sur les sciences et les investissements dans l'espace (ASIC), organisé à Darmstadt (Allemagne) du 14 au 16 octobre, réunissant des scientifiques, des spécialistes de l'industrie aérospatiale et des investisseurs.

L'activité spatiale est en pleine mutation, il va falloir s'y faire !

L'agence spatiale australienne, née le 1er juillet dernier, vient d'être dotée d'un siège officiel.

Et si le Pakistan et l'Inde, voisins aux relations toujours tendues, lançaient des astronautes dans l’espace la même année ?

Le financement des activités d'Exploration spatiale par les gouvernements dépassera les 20 milliards de dollars d'ici 2027, rapporte Euroconsult dans son étude consacrée aux perspectives de l'Exploration spatiale.