Les 50 confortables millions d'euros du budget annuel de l'Arcom pourraient être rabotés par les restrictions budgétaires de la France.
Le président de l'Arcom, Martin Ajdari, a présenté le rôle et les ressources de l'organisme face aux attentes croissantes de la société. Il a indiqué une augmentation prévue du budget en 2026, après une baisse en 2025. M. Ajdari a précisé les fonctions de l'Arcom, qui incluent la régulation des contenus pornographiques, la garantie du pluralisme audiovisuel et l'imposition de sanctions aux médias russes. L'organisme a également acquis de nouvelles compétences, notamment en matière de piratage.
En réponse à des accusations de censure formulées par des médias associés à Vincent Bolloré, il a affirmé l'indépendance de son collège et a questionné l'avenir des missions de l'Arcom en cas de suppression de l'organisme. De plus, l'Arcom s'est engagée dans un conflit entre des médias privés et l'audiovisuel public, une situation exacerbée par l'affaire Legrand-Cohen.
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